Historique
De mémoire plus récente, au lendemain de la seconde guerre mondiale, après les 5 années de frustration et de souffrance, le folklore fut remis à l’honneur et l’on décida de « remarcher » à la Saint-Roch, c’est-à-dire le dimanche qui suit le 15 août, selon la tradition connue des plus âgés. |
En 1957, lors de la remise en question du comité de la marche Saint-Roch (les membres trop âgés de ce comité n’étaient plus actifs), et à l’initiative de feue Madame la Comtesse d’Oultremont, on reconstitua un comité.
Donc la comtesse, marraine du peloton, convoqua une délégation de sapeurs à qui elle offrit un magnifique drapeau avec l’aigle et le sabre pour le premier officier porte-drapeau qui reçu un nouveau costume. Quelques années plus tard, elle offrit aussi la masse au peloton des sapeurs.
On constitua une garde au drapeau composée de 8 sapeurs avec fusils, alors que les sapeurs portent des haches.
Le groupe de Sapeurs est le plus ancien peloton de la marche Saint-Roch d’Ham-sur-Heure. Différentes transformations dans l’uniforme se succéderont jusqu’à ce jour (guêtres en toile ; tablier et gants en cuir ; ceinturon et giberne).
En 1999, le peloton des Vrais sapeurs a obtenu la reconnaissance royale pour son 50ème anniversaire. |
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A l’heure actuelle, entre 50 et 55 hommes sont chaque année réunis pour participer aux festivités de la Marche Saint-Roch le dimanche et le lundi après le 15 août.
Ils ont fait quelques déplacements remarquables et remarqués, entre autres :
- à la marche Saint Valère à Onhaye ;
- à Jemappe ;
- au gala du folklore wallon, au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles ;
- aux fêtes de Wallonie, au Palais des Beaux-Arts e Charleroi;
- à Amsterdam
- à Cambrai;
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